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  1. Le Petit soldat. Jean-Luc Godard. France / 1960 / 88 min. Avec Michel Subor, Anna Karina, Henri-Jacques Huet. 1958, pendant la guerre d'Algérie. Bruno Forestier, déserteur, vit à Genève. Proche d'un groupuscule d'extrême droite, il est soupçonné par ses amis de jouer un double jeu en côtoyant des militants du FLN.

  2. Le petit soldat : la critique du film (1963) Faux film politique et vrai film d’amour, Le petit soldat déjoue les attentes du spectateur avec brio et s’impose comme une œuvre majeure dans la filmographie de Godard. Synopsis : Bruno Forestier, petit tueur à la solde de l’OAS, tout à coup et sans raison apparente, hésite à honorer un ...

  3. Tourné après À bout de souffle, le deuxième film étrangement humoristique de Godard sur la guerre d’Algérie et sa première incursion dans le cinéma politique a été interdit pendant trois ans. Le petit soldat marque sa première collaboration avec Anna Karina, dont voici une œuvre indélébile.À bout de souffle, le deuxième film

  4. Le petit soldat. Directed by Jean-Luc Godard • 1963 • France. Starring Michel Subor, Anna Karina, Henri-Jacques Huet. Before his convention-shattering debut, BREATHLESS, had even premiered, Jean-Luc Godard leapt into the making of his second feature, a thriller that would tackle the most controversial subject in France: the use of torture ...

  5. Le Petit Soldat es un cortometraje de animación francés, realizado por el animador Paul Grimault y premiado en el Festival de Venecia de 1948. [ 1 ] [ 2 ] Está basado en el cuento El soldadito de plomo , de Hans Christian Andersen .

  6. Le Petit Soldat est un film réalisé par Jean-Luc Godard avec Michel Subor, Anna Karina. Synopsis : Dans ce premier film politique, Jean-Luc Godard raconte le cauchemar de Bruno Forestier, petit ...

  7. Banned for two and a half years by French censors for its depiction of brutal tactics on the part of the French government and the Algerian fighters alike, LE PETIT SOLDAT finds the young Godard already retooling cinema as a vehicle for existential inquiry, political argument, and ephemeral portraiture—in other words, as a medium for delivering “truth twenty-four times per second.”